New Problems at Curt Gowdy State Park

"MONO CRIMP!!!"

Nick Turner's passionate and rather bizarre war cry echoed through the forest as he flung off of my most recent boulder problem, Face Full of Nothing.  As I lowered my camera and took in the vibes of our crew and the boulders, I couldn't help but think...

Holy shit, Vedauwoo bouldering is actually fun!
...
In the weeks that I've been out of town, there has been a recent surge in development of a sector of boulders in the heart of Curt Gowdy State Park, which is a mere half hour away from Laramie.  This new sector is littered with the usual blank eggs that you'll find in most of Vedauwoo, however, several boast clear lines that are just begging to be climbed.  That, paired with the relative shelter of the forest, allowed Davin and Josh to explore and begin developing the boulders throughout December and early January.  They had a certain psyche about the area that was just contagious, so I was nothing short of eager to go check it out.

My first weekend back, Davin, Josh, Nick, and I set out hungry for some new problems.  Upon arrival, my first impression was not great.  The rock was, as per usual Vedauwoo, super abrasive- "suprabrasive", if you will.  On top of that, our first stop of the day was getting blasted by wind, making the would-be comfortable 45 degrees miserable.  Needless to say, nothing really went down there.

It was not until we relocated to a more sheltered cove that we really started climbing.  We also met up with Nick there, as he showed up late and spent about an hour and a half wandering through the woods until he happened to find us.  Anyways, Davin put up Deck of Cards (V3), which we all repeated and shared similar moments of terror on the topout.  The line starts on an obvious cobble, which leads to sloped jugs and a balancey mantle with a good crimp.

Davin on the FA of Deck of Cards

We then headed a little ways down the slope and put up two lines on a boulder with two big flake systems.



At the end of the day, we moved back up the hill to a boulder where Davin wanted to work a powerful compression line.  On the opposite side of the boulder, I put up a really fun easy problem I called Dihedroid (V2), which comes out of a small dihedral on good incuts and a bomb undercling.
Dihedroid
 Despite the less than underwhelming first impression, I quickly began to realize that the largely unpopular style of Vedauwoo bouldering just takes some getting used to, with the sharp crystals and the blood and what not.
We returned the next weekend, with the additions of Bart, Joyce, Nicole, Chris, and Tim.  It was slightly colder and completely overcast, but utterly still- conditions were perfect.  While everybody warmed up on the flakes from last time, I wandered off, always in preference of something new.  I cleaned and warmed up on Lowbrawl (V3), which moves up nice incuts to a classic sloper mantle- a swift reminder of where it is you're bouldering.
From there, Nick called me up to check out a small recess he found with several nice lines to choose from, which we quickly got excited with.  Nick was focused on a gentle overhang with good holds, while I turned my attention to the intimidating slab across from it.  Once joined by Chris, Nicole, and Tim, we worked the slab.  I first finished an easy variation, which uses the juggy edge of the boulder, but what I really wanted was a direct finish, which involved a few key inverse crimps on crystals to get to the last good crimps.  After a few tries, I worked out the sequence and topped out Face Full of Nothing (V4), which is by far the best slab problem I've put up.
Face Full of Nothing

Nick reaching for the last good crimp
 Shortly after, Nick made a quick ascent of Lost in the Woods (V2 or V3), which we all repeated.  It starts with a big heel hook which leads to good crimps and jugs at the top.
Nicole at the start of Lost in the Woods

Nick topping out


 Following these ascents, everyone except Davin, Nick, and I headed back to town.  With the last hour of daylight, the three of us walked to the top of the hill, which proved to be fantastic on this windless dayThere, Davin worked a very difficult overhanging lowball while Nick and I worked a big and very obvious roof problem.  The roof begins on good crimps which lead to a short sequence on progressively worse crimps, climaxing at a powerful gaston and cross into jug city.  I couldn't finish it that day, but definitely next time
 Tired and physically abused, we called it a day at 6:00 p.m., unheard of on a late January day. With several projects now in the works, I'm actually pretty excited to go back soon.  Being as popular a climbing destination as Vedauwoo is, I feel privileged that I can still be out there establishing lines on virgin boulders.  There are even a few towers in the area with great cracks and slabs just waiting to be climbed!  We here in Laramie sure have our work cut out for us...and its great.
 
  

Essai routier: Hyundai Elantra GT 2013



La famille Elantra est plus nombreuse cette année.  Après avoir perdu la configuration familiale (Elantra Touring), la famille s'enrichit de la version coupé et de la version GT.  Celle-ci est un modèle 5 portières vendu également en Europe sous le vocable i30.  Vous me direz peut-être qu'on retrouve les mêmes configurations chez le frère Kia avec sa famille Forte.  C'est loin d'être une coïncidence puisque Kia remporte beaucoup de succès avec ses Forte.  Il était donc tout naturel que l'autre membre du conglomérat Hyundai-Kia tente aussi sa chance.  Bien que les carrosseries soient les mêmes, chaque manufacturier a des vocations bien distinctes pour chaque famille.

Trois niveaux d'équipements composent la gamme Elantra GT : GL, GLS et SE.  Les GL et GLS reçoivent une transmission manuelle de série alors que les trois peuvent intégrer la transmission automatique.  C'est la GLS en version manuelle qui fait l'objet de cet essai.  On a souvent l'impression que les versions hatchbacksont les plus roturières d'une gamme, mais, détrompez-vous, l'Elantra GT coûte environ 1 500 $ de plus que sa contrepartie à quatre portières.  Cette hatchback n'est donc pas une version de bas de gamme.  Elle a d'ailleurs remporté le prix très convoité de « Meilleure petite voiture de plus de 21 000 $ » remis par l'AJAC, l'Association des Journalistes Automobile du Canada.

Bien que son profil soit facilement reconnaissable, la GT a un bouclier avant plus massif.  Son énorme calandre noire englobe le logo Hyundai, le centre du pare-choc et la prise d'air sous celui-ci.  Certains modèles ajoutent à ce grand trou noir deux petites bandes chromées de chaque côté du logo.  Les ailes avant et arrière gonflées et bien intégrées à la ligne qui court à la hauteur des poignées ajoutent du mouvement à l'ensemble.  Cette ligne qui parcourt les flancs de l'Elantra GT se perd dans le pare-choc arrière après avoir frôlé les feux arrière.  Ceux-ci suivent la forme de cette ligne et se poursuivent jusque dans le hayon.  Un petit aileron surplombe le hayon sur tous les modèles.  Deux réflecteurs verticaux sont intégrés au pare-choc, accentuant l'impression de hauteur du véhicule.

L'accès à bord est facile, autant à l'avant qu'à l'arrière.  On voit tout de suite que l'habitacle respire la qualité.  Le tableau de bord est recouvert de matériaux mous, l'assemblage des éléments ne suscite pas de critique négative et le tissu des sièges devrait durer plusieurs années.  Petit bémol pour le cuir du volant trop glissant.  C'est un élément que l'on retrouve sur quelques modèles Hyundai, dont l'Elantra GT.  Les sièges sont confortables pour quatre occupants, bien qu'un cinquième pourrait s'asseoir au centre de la banquette arrière pour une courte randonnée.  L'espace pour les jambes est bien, à l'avant comme à l'arrière.  Bien que ma voiture possédait le toit panoramique, l'espace pour la tête était correct à l'avant.  C'est une tout autre histoire à l'arrière où les personnes de grande taille se retrouveront avec la tête encastrée dans le pavillon.

Les cadrans, très simples avec des chiffres blancs sur fond noir, sont facilement lisibles.  Au centre de ceux-ci, l'odomètre  est intégré à l'ordinateur de bord qui fournit beaucoup d'autres renseignements comme la consommation moyenne et instantanée d'essence, la température extérieure, la vitesse moyenne, etc...  Sous l'ordinateur de bord, la jauge à essence et la température du liquide de refroidissement.  Le moyeu du volant est bien garni de commandes de toutes sortes.  Sur la branche de gauche, les commandes du système audio et plus bas, celle du téléphone.  Sur la branche de droite, les commandes du régulateur de vitesse surplombent celles de l'ordinateur de bord.  Bien qu'il y en ait beaucoup, c'est assez facile d'utilisation.  Je précise ici que l'éclairage de nuit est bleuté et que la majorité des commandes usuelles sont rétroéclairées.

Tout en haut du bloc central, le système audio.  Dans l'Elantra GT, ce système a presque reçu une note parfaite de ma part.  Les CD ont une belle sonorité tout comme la radio satellite XM.  On peut aussi y brancher un lecteur audio ou iPod.  Mon iPod touch a fonctionné à merveille, nul besoin d'un  fil spécial.  Brancher un téléphone cellulaire ou un iPod touch par Bluetooth est un jeu d'enfant.  Puisque rien n'est parfait, j'aurais aimé voir les titres de chansons pour les stations FM.  J'aurais aussi apprécié pouvoir brancher mon cellulaire et mon iPod par Bluetooth en même temps.  Mais, c'est impossible.  Il faut choisir la musique ou la sécurité.  J'ai choisi la deuxième option.

Plus bas dans le bloc central, on retrouve les commandes de la ventilation.  Elles sont composées de commutateurs pour diriger l'air, d'une petit molette pour la vitesse du ventilateur et d'une plus grosse pour la température de l'air.  Bien que la chaleur n'était pas un problème, c'est plutôt l'humidité qui m'a causé des maux de tête.  La ventilation avait beaucoup de difficulté à faire disparaître la buée dans les vitres.  En fait, elle n'a jamais réussi!  Je soupçonne le toit panoramique de créer beaucoup d'humidité que la ventilation ne peut éliminer.  Les commutateurs de sièges chauffants sont juxtaposés aux commandes de ventilation.  Excellente idée, ils sont faciles d'accès.  Le coffre à gants est de dimensions raisonnables et vous pourrez y mettre deux ou trois bouteilles d'eau car il peut être réfrigéré!

La poignée qui permet d'accéder à la soute à bagages est très mal placée.  Située tout en bas du hayon, il faut se mettre la main dans la neige et la saleté pour y accéder.Il faut souligner que, pour les modèles qui en sont équipés, la caméra de recul est placée sous le logo Hyundai.  Il était donc impossible pour Hyundai de placer la poignée d'ouverture du hayon à cet endroit.  Dommage!  Pour ce qui est de la soute comme telle, elle est grande et peut être agrandie en abaissant la banquette divisée 60/40.  Ce n'est pas facile d'abaisser cette banquette car la procédure nécessitera que vous jetiez un coup d’œil dans le manuel du propriétaire, mais ça donne un plancher parfaitement plat prêt à recevoir de gros objets. 

Mécanique maintenant!  La Hyundai Elantra GT est une traction avant motorisé par un quatre cylindres à injection multipoint de 1,8 litre produisant 148 chevaux à 6 500 tours/minute.  Le couple est de 131 lb/pi. à 4 700 tours/minute.  De série, il est couplé à une boîte manuelle à six rapports.  Ce n'est pas un foudre de guerre, mais, en rétrogradant,  il est possible d'aller chercher quelques chevaux supplémentaires dans le fond de l'écurie.  Cette transmission manuelle est désagréable à utiliser puisque son guidage est trop flou et la grille de sélection, trop large.  Il m'est arrivé à quelques reprises de passer la quatrième vitesse au lieu de la sixième.  La boîte automatique Shifttronic à six rapports optionnelle est beaucoup plus agréable à utiliser et, grâce à son mode séquentiel, vous pourrez tout de même aller chercher quelques chevaux de plus en rétrogradant manuellement. 

Le freinage ne prête pas flanc à la critique car les disques aux quatre roues font un excellent travail.  Sur les branches du volant, vous aurez peut-être remarqué un pictogramme inconnu.  Il s'agit d'un volant avec un degré d'intensité superposé.  Ce commutateur sert à changer le mode de direction, soit Confort, Normal ou Sport.  Ça peut sembler une bonne idée, mais en y pensant bien, pourquoi je voudrais une direction moins rapide et plus floue?  Alors, bien que j’aie essayé tous les modes, la majorité de mon essai s'est déroulé avec le mode Sport, le seul qui donne un peu de sensations.  La suspension est indépendante aux quatre roues et n'est pas trop dure, ni trop molle.  C'est un bon compromis confort/tenue de route.  L'Elantra GT roule sur des pneus de 16 pouces et des 17 pouces sont disponibles en option.

La Hyundai Elantra GT est dotée de sept coussins gonflables assurant la protection de tous les occupants en cas d'accident, soit deux coussins frontaux, deux coussins latéraux intégrés aux dossiers avant, deux rideaux latéraux intégrés au pavillon et un coussin de genoux pour le conducteur.  La GT est aussi pourvu de plusieurs systèmes d'aide à la conduite.  Outre les freins antiblocage ABS, le système de gestion de la stabilité du véhicule surveille et coordonne divers système de sécurité avancés tels que le contrôle électronique de la stabilité ESC et l'antipatinage TCS, ainsi que la servodirection électrique MDPS afin d'assurer une stabilité optimale et efficace lors du freinage.

Ces trois semaines au volant d'une voiture fournissent de bien meilleures impressions qu'une seule semaine.  La Hyundai Elantra GT est une bonne voiture, agréable à conduire pour peu que l'on choisisse la transmission automatique.  L'espace est excellent, les commandes faciles à utiliser.  En fait, seule cette humidité qui ne veut pas s'en aller a quelque peu gâché le bilan de ces trois semaines... si j'oublie les trois tempêtes de neige, dont la plus grosse en une quarantaine d'années.  C'est encore un bon coup de Hyundai.  Ce n'est pas pour rien qu'elle a remporté cette statuette de l'AJAC!

Questions, commentaires, opinions?  Venez discuter de la Hyundai Elantra GT sur le forum de Passion Automobile en cliquant ici.

Essai réalisé précédemment : Hyundai Elantra 2011

Conditions de l’essai

Réalisé du 17 décembre 2012 au 7 janvier 2013.
Journées de soleil, de neige et de pluie, entre -25 et 3 C.
Modèle essayé : Hyundai Elantra GT GLS
Prix selon www.hyundaicanada.com (23 janvier 2013) :
·         GL : 20 759 $
·         GLS : 22 959 $
·         SE : 25 959 $
·         SE Tech : 27 959 $
Prix du modèle essayé :   22 744 $ + taxes
Distance parcourue : 2 348,2 km (21 % autoroute)
Consommation selon
Ressources Naturelles Canada :
·         Ville : 7,8 L/100 km
·         Route : 5,3 L/100 km
·         Émissions CO² : 3 036 kg/année
Consommation dans la vraie vie: 7,9 L/100 km
Régime-moteur à 100 km/h : 2 400 tours/minute
Régime-moteur à 115 km/h : 2 800 tours/minute
Véhicule fourni par Hyundai Canada.
Photos prises à Ste-Elisabeth, Québec et chez Holcim (Canada) inc., Joliette, Québec

A Few From Puerto Rico

Puerto Rico is an island much revered for its beaches, music, and rumRock climbing has never received much, if any, attention by locals or tourists.  This has begun to change lately, and articles on Puerto Rico now seem to be somewhat in vogue in major climbing publications.  With half of my family being proud Puerto Ricans, I spent a lot of time on the island growing up, however, this past winter was my first visit as a climber.

Unfortunately, I was dealing with a relatively minor case of tendonitis at the time of my arrival.  Because of this, I cut out all climbing and climbing related exercises for two weeks before attempting to get on a wall again.  This seemed to be sufficient, and I quickly found myself dragging my family along to various crags around the island.

Bayamon, a popular sport crag, was the first place I visited.  Being only a 15 minute drive from the heart of San Juan,  Bayamon is effectively the gym for locals and an exotic adventure for tourist groups.  The rock is a pale grey limestone that is generally littered with pockets, tufas, and stalactites.  I first took my brothers there for a day of easy climbing after recovering from my injury, climbing several 5.8-5.9's and a few 5.10's.  They seemed to enjoy it very much, as the wall I took them to is ideal for beginners with massive pockets and feet everywhere.







Later, towards the end of my trip, I returned with local climber, Dario, to attempt an area classic called Chocolate Sky (5.11d).  My new years resolution this year is to stop being a bitch and climb 5.12 already, so I figured I may as well start by getting on that route.  We warmed up on a tricky 5.10 just to the left and a moderate 5.11a to the right, then I took the route by storm.  It goes up a thoughtful section of 5.10+ which leads to a big rest, then pushes through a stellar headwall with cool tufas and crimps.  I made it to the second clip of the crux sequence before I got the nerves & took.  The route was super well protected, so I proceeded to French free the  rest of the clips and free the moves afterwards.  This at least let me realize that every move was physically easy for me and that it's really not that hard to climb at these more difficult grades- I just need to keep my cool.


Dario on the big rest before the headwall

Apart from the great sport climbs, I began to crave some good bouldering.  Bayamon has plenty of boulders, but hardly anybody on the island owns a pad.  Out of sheer desperation, I became crafty and fashioned a makeshift pad of my own to take on a short session one afternoon.  Complete with durable duct tape shoulder straps, the Trash Pad was born.


It was shitty and dangerous, but better than nothing.
There are a few other sport crags spread out across the island, and the only other one we visited was the walls at San German.  This crag is a little less beginner friendly, as you have to climb an approach pitch to reach most of the climbs, which look really good.  I led the awesome 5.10a approach pitch, which offers some 80 feet of continuous moderate climbing and great views, before heading down to the wall called the Gym.  This wall is overhung at a sustained 30 degrees and boasts dozens of fun jug hauls.  A lot of the pro is sketchy webbing tied through holes and jugs, which keeps you pretty attentive too.

The rest of my outings were beach bouldering sessions, which I really enjoyed.  The first beach we climbed at was Surfer's Beach in Aguadilla.  There is a single 25-30' boulder right by the parking lot, which has dozens of climbs that range from 5.6 to 5.10, with a few V2-V3 boulder problems on the short sideYou can exhaust it pretty quickly, but the routes are so fun you'll want to do them over and over again!







 Dozens of boulders lie in the forest as well, but they're really dirty and would need a committed crew to clean and maintain.
The last beach we hit was Vacia Talega, which is just outside of Pinones.  The seas there are much rougher, and the wind is deafening and constant.  The climbs are also more difficult, with not much easier than V3.  








I wish I could have climbed more during my stay, but either way I was just glad to be away from school and the bitter cold for a while.  

...
 
Actually, I was pretty happy to come back to Laramie with its -22 degree weather.  With new goals and the usual motivation, I'm super stoked to be where I am when I am, and 2013 is looking like it will be a great year!